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Comment te sens-tu juste avant un test?
Le cœur qui pompe plus vite, la respiration qui s’accélère, le petit pipi nerveux.
C’est le stress qui se montre le bout du nez.
Tu as les mains moites, tu as de la misère à tenir en place, la voix dans ta tête te dit : « T’es malade, pourquoi tu fais ça? »
Pourquoi !?
Parce que tu es sur le point de t’affronter toi-même.
Affronter tes capacités physiques et tes limites mentales.
Le corps ne cherche qu’à s’adapter à son environnement. Et toi, qu’est-ce que tu fais !?
Tu es sur le point de marcher à l’extérieur de ta zone de confort.
Genius !? Je crois que oui !
À l’entraînement, nous générons un environnement de stress modéré et contrôlé. Celui-ci nous permet d’en ressortir gagnants.
Pourquoi? Parce que la réponse de stress qu’occasionne l’entraînement est automatiquement redistribuée dans ce que nous faisons. Nous apprenons à gérer à petite échelle une situation de stress.
Quand on y pense, nous récoltons des preuves d’accomplissements. N’est-ce pas un moyen idéal pour bâtir une confiance en soi pour affronter d’autre stress que la vie nous apporte?
D’autant plus, le résultat de ce test que tu es sur le point d’accomplir, c’est le point de départ de quelque chose de plus grand. C’est la nouvelle délimitation de ta zone de confort.
Tu ne seras pas la même personne en sortant de la tempête que tu as affrontée.
Peu importe la tournure des évènements, tu sortiras de ce test avec une meilleure connaissance de toi.
Si tu réussis ou tu t’améliores, tu as repoussé les limites de ton être pour agrandir ta zone de confort. Beau travail.
Si tu « échoue », il devient possible de voir ce qu’il y a à améliorer. Il y a un monde de possibilités pour trouver la voie à prendre pour un progrès efficace.
« Tu ne perds jamais. Sois tu gagnes ou tu apprends. »
– Nelson Mandela
Marc-André Ménard, Massothérapeute sportif, Orthothérapeute
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